L'enquête de l'inspecteur Pissenlit et de la commissaire Chara

J'ai installée dans mon fauteuil de mon bureau.
Il y a quelque mois à peine, l'inspecteur Pissenlit avez rejoint mon équipe, c'est une petite jeune par rapport à moi !
J'avais commencée a faire quelque petit enquête avec elle, je la trouvait plutôt sympa. Il faut bien dire que c'était un peu difficile au début on avait pas du tout la même expérience...
*Driiiiiing !* (la sonnerie du téléphone)
"Oui halo, Commissaire Chara à l’appareil.
- Commissaire c'est horrible ....

ma... ma.. fille il l'ont tué!!!!!
aidez moi!!

Ne bougez pas et ne touchez surtout pas la scène de crime, nous arrivons !
(le téléphone est raccrocher)
Je me précipitais vers ma voiture de police tout en essayant d'appeler mon collègue, l'inspecteur Pissenlit, qui ne répondait toujours pas après trois fois !
Elle a intérer d'avoir une sacrée bonne excuse pour ne pas répondre après ces trois appelles ! songeai-je.
Je venais tout juste d'arriver, j'observait la scène. Mais l'inspecteur Pissenlit n'était toujours pas arrivée !

J'étais tranquillement en train de déguster des fondants au chocolat et tout s'annonçait parfaitement bien pour cette belle journée d'automne quand le téléphone sonna... Je soupirais et levait les yeux au ciel!! Quelle idée de m'appeler PILE quand je mangeais le cœur du fondant!! La meilleure partie, en plus!!! Je laissais sonner et terminait tranquillement mon fondant. Non mais. Donc après avoir terminé le gâteau et m'être consciencieusement léché les doigts, je décrochais:
-Inspecteur Pissenlit à l'appareil, j'écoute?
La voix tonitruante de la Commissaire Chara, ma chef, me hurla dans les oreilles. Sans me laisser le temps de savourer le reste du goût chocolaté du fondant. Grrrr!! moi qui avait gardé le meilleur pour la fin!! J'habitait depuis quelques temps chez la commissaire Chara, qui devait perfectionner ma formation d'inspecteur. Je l'aimait bien, et il fait avouer qu'elle était très douée, mais je la trouvait trop stricte! par exemple; elle refusait catégoriquement que l'on mange des fondants pendant une enquête... Mais pour l'instant, elle cherchait visiblement à me dire quelque chose:

"Inspecteur !! Il y a eu un crime, à la rue des ananas ! Mais je crois que nous avons une piste...

- UN CRIIIIME?????!!!!!! TU AS BIEN DIT UN CRIME?????!!!!! Waaaoooow!!!! Mon PREMIER crime!!! De quoi s'agit-il, commissaire?? Et quelle est la piste??

- Je te donnerai plus d'informations quand tu seras là... Et ne t'avise pas d'être en retard !"
(le téléphone est raccroché)
Il est vrai que j'aime bien l'inspecteur Pissenlit, mais elle se conduit parfois comme un enfant ! Je sais bien que, à l'époque, j'été contente lors de ma première enquête... Mais pas de là aller crier dans les oreilles de mon "professeur". J'espère que cette première enquête avec l'inspecteur Pissenlit se passera bien...

WAOW!!!!!!!!!!! Mon PREMIER crime!!!!! Yeeees!! Je m'imagine déjà déjouant les criminels, un éternel paquet de meringues à la main!!! Tadaaaaaaa!!!!! Je me dépêche de troquer mes tatanes contre mes chaussures préférées (des baskets vert pomme a rayures violettes), de fourrer un paquet de gâteaux à moitié entamé dans mon sac à dos, et je descend en courant les escaliers de l'immeuble. Je saute dans un tram, et après quelques changements, une boulangerie et trois pâtisseries à la vitrine alléchante, je suis devant la porte de l’appartement où a eu lieu le crime! Surexcitée, je sonne!

Lorsque que j’ouvris la porte je me douter déjà que c'était l'inspecteur Pissenlit, et je n'avais qu'une envie... ! Mais ce n'était par l'heure de faire ce genre de choses, l'affaire reste sérieuse !
Je montre ensuite la scène de crime à l'inspecteur, je me tourne vers elle en lui disant :
"Bien inspecteur Pissenlit, il est temps de voir si mes entraînements t'on servi, décrit-moi la scène et suppose se qui aurait pu ce passé nuit là....

Suite à la demande de mon commissaire, je scrute la pièce... Je me trouve dans un petite chambre d'étudiante, bien aménagée, lumineuse grâce à la lucarne entrouverte donnant sur les toits qui éclaire seule la chambre. Une armoire, un bureau où s'éparpillent des feuilles de cours, un lit, une table de nuit et des étagères couvertes de livres de cours et de babioles constituent le mobilier de la pièce.
La chambre parait plutôt rangée, les livres sont à leurs places, et le bureau est un peu un bazar, ce qui parait normal vu que la victime a 17 ans et est au lycée.... Seul le lit, dont la couette à été rejetée en arrière, montre que la jeune fille a du se lever précipitamment. Et le tapis, froissé et décalé, indique une lutte. C'est là que je remarque un détail non négligeable: l'armoire est bombée et semble penchée en avant, comme ployant sous le poids d'un objet lourd...
Précautionneusement, j'entrouvre la porte... BAM!!! Une masse tombe de l'armoire et s'écroule sur le sol! Un corps en pyjama... Celui d'une jeune fille... Une peu moins de vingt ans... Des cheveux mi-longs châtains clairs encadrent un visage fin constellé de taches de rousseurs. Ses yeux noisettes sont grand ouverts et montrent un effroi indescriptible... La victime.
Elle semble s'agripper à un manteau dans la penderie et serre dans sa main crispée une des poches du manteau. Son cou, violacé et tordu, à sûrement reçu un coup. Mortel.

Aussitôt, j'explique à mon commissaire ce qui, selon moi, s'est passé:
"Après avoir travaillé un peu à son bureau pour le lendemain, la victime se couche tranquillement. Elle s'endort mais, dans la nuit, un bruit inhabituel et un courant d'air la réveille. Le voleur, entré par la lucarne, et qui ne l'a pas fermée pour ne pas faire de bruit, est au milieu de la pièce. Il s'arrête net.
Il doit y avoir quelque chose de particulièrement précieux dans la poche de ce manteau et le voleur le sait. La jeune fille, qui se rend compte de ce qu'il veut piller, se jette sur lui sans réfléchir. Trop surpris pour réagir et l'immobiliser directement, ce dont il aurait été capable, le voleur tombe et une lutte s'engage. Mais la jeune fille ne fait pas le poids, elle le sait. Aussi se précipite-t-elle vers l'armoire, l'ouvre, trouve le manteau, la poche, et la serre-t-elle entre ses mains pour empêcher le pillard de l'ouvrir. Elle crie. Affolé de ce qu'elle puisse alerter les voisins, le voleur l'assomme au moyen d'une matraque au milieu du cou. La victime tombe raide morte sans quitter des mains la poche du manteau.
Horrifié et perdu, le voleur se hâte de cacher la jeune fille dans l'armoire, oublie ce qu'il était venu chercher et se dépêche de repartir par la lucarne.
Selon moi, la jeune fille avait du raconter à ses amies où se cachait cet objet si précieux. Il y a eu une fuite et cet homme l'a appris. Ce n'est par un expert en cambriolage et encore moins un assassin, néanmoins, attiré par l'appât du gain, il prépare son vol sans s'assurer au préalable que la jeune fille est partie. "